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Chloé Gambier 

@chloegambier_

sur Wait For You de Tom walker. 

 

" Le thème des violences conjugales m’a beaucoup inspiré, c’est un sujet très important dont on ne parle pas assez.

Pour créer ma chorégraphie je me suis mise dans la peau d’une personne ayant vécu ce « traumatisme », en essayant de faire passer le plus d’émotions possibles.

Au début je me renferme sur moi même, je n’ose rien faire et puis au fur et à mesure je prend confiance et me libère, je pense que c’est la chose la plus compliquée quand on est victime de violences comme celles-ci.

Karine Aledo Remillet 

 

sur Tick of the Clock de The Chromatics 

" Dans cette prestation, chaque détails compte, nous sommes comme suspendu dans le temps  lorsque nous traversons ce genre de situation. "

Eva Lévy 

@itsevaley

sur River de Bishop Briggs 

Maryline Ferro 

sur Our desir for her ghost de Victoria Lukas.

" C’est un parti pris pour moi de ne montrer que des bouts de corps en mouvement, laissant paraître une forme de souffrance et une perte de personnalité. "

Clémmentine Coppin 

@titimentine

 

sur Edemwa d’Alicia. 

Run Away

" J'ai voulu créer cette chorégraphie pour essayer de transmettre l'emprise dans lequel une victime de violences conjugales se trouve. Ce thème me touche énormément pour deux raisons : la première concerne le féminicide d'une camarade de classe, ce qui m'a profondément marqué ; la seconde concerne ma propre expérience puisque j'ai subi des violences psychologiques, j'étais totalement sous emprise. La danse m'a permis de m'en sortir et d'extérioriser ce qui m'était arrivé. Cette chorégraphie est donc pour moi à la fois l'aboutissement d'une thérapie et un moyen de dénoncer ces violences qui sont un véritable fléau. Je me suis laissée porter par la musique pour être la plus sincère et transparente possible. "

Manon Rousseau, Maïwenn Le Chaton, Anaëlle Coudron, Manon Louis-Tisserand et de Lise Fromont

 

Sur Lament de Youn Sun Nah.

@hermine_o7_

@maiwennlchtn

@lisefromont

@_.manonlt._

@manon_rousseau67

" Dans cette pièce, chaque danseuse incarne une manière de réagir face aux violences conjugales, ce sont donc des personnages que nous avons créés ici. Chacune, à sa manière, évolue dans son corps, cherchant peu à peu à extérioriser ce qui est enfoui et caché aux yeux des autres. S’exprimer, c’est se rendre compte que la lutte peut être menée à plusieurs. "

Association ICP Danse 

sur Grand Piano de Nicki Minaj. 

@louchllt

@krystelkake

@gathachloe

@stefany_lk

@leilaz27

@arosief

@celine_ducret

 La vie en bleus

 

" Nos chorégraphies sont issues de la volonté de relater les sentiments antagoniques qui peuvent habiter une personnes victimes de violences conjugales. Une sombre exploitation du style contemporain nous a permis de représenter les sentiments d'isolement, de solitude et de confusion qui consument la victime. 

La chanson que nous avons choisie exprime elle aussi la complexité d'une telle situation, la victime se sentant piégée entre la dépendance à une situation qui, pourtant, la fait souffrir et les fortes répercussions d'une telle violence, qu'elle soit physique ou mentale.

Nous avons également tenté de sensibiliser à la difficulté du détachement. Le fait de sortir du déni et de prendre la décision de s'éloigner d'un contexte que l'on sait toxique est certainement la plus grande difficulté rencontrée par les victimes muselées par la peur et aveuglée par l'emprise.

Le fait d'avoir réalisé des chorégraphies en solo a aussi amplifié le fait que le comportement d'un conjoint violent dépasse même le stade de la relation de couple. La victime est alors conditionnée à se faire du mal à elle-même, de façon active ou passive, en l'absence totale de repères sains. 

L'idée était de nous servir de notre passion pour la danse en nous servant de notre corps pour mettre en mouvement ce que les mots ne suffisent pas à exprimer. "

Thida Ward, @thida.w

sur Forever d'Halsey 

" La femme que j’interprète est victime de violence dans une relation dans laquelle elle s’est beaucoup investie.

Au début de la chorégraphie il y a beaucoup de mouvements sur pointes, je cherche à représenter l’espoir de la protagoniste, qui se dit que son conjoint est au fond une bonne personne. Cette phase s’arrête lorsqu’elle arrive sur le mur. Son conjoint la rabaisse, émotionnellement et physiquement, jusqu’à un moment de rupture: à partir de là les mouvements sont ancrés au sol, et ses espoirs se brisent. "

Chloé Neves, Anja Raberanto, Emilie Ponton, Ludivine Riot, Fanny Momier, Lorine Faburel, Chloé Charruau et Lily Trolat.

sur Nate Growing Up de Labrinth.

@lorinefaburel

@kalo.rabe

@t.l_123

@fanny.momier

@chloecharruau

@lulu_danse_

@emilie_ponton

@_chloe_nvs

Emprise

 

" Pour nous, il était important de bien définir la violence conjugale. À savoir d'en identifier ses différentes formes et la façon dont elles se traduisent dans le quotidien. Humiliation, intrusion, isolement, manipulation, répétition.. une emprise totale qui enferme la victime dans un cercle vicieux. Nous voulions également inviter le spectateur à se questionner à nos côtés: Que puis-je faire ? Quand et comment dois-je intervenir ? "

Collectif l’Art du mouvement composé de Béatrice, Delphine, Isabelle et Nathalie-Clovis

Main(s)tenues - main(s)tenant. 

L'intention était d'identifier ce qu'est la violence conjugale pour nous, d'y mettre nos mots et d'exprimer notre rapport à cette forme de violence et à ses conséquences.

La vidéo est :

- sans visage : perte d'identité 

- sans jambes : difficulté à fuir, à quitter, à tout recommencer

- avec mains : partie du corps utilisée pour le meilleur comme le pire  

- en noir et blanc : destruction de la confiance, de l'équilibre, de la paix, du respect, de la clarté, de l'expression, de la diversité, du vivant en soi.

- morcelée : viol de l'integrité (physique, psychique, relationnelle, familiale)

- soutenue par une musique percussive et à suspens : coups reçus (physiques, psychiques, émotionnels, énergétiques), tension et hypervigilance quotidienne.

 

Le choix d'utiliser la répétition, qui se retrouve dans le mouvement, dans la musique et également dans le montage, exprime le fonctionnement habituel par cycles : moment de paix apparente suivi d'une montée de la violence jusqu'à un pic puis réconciliation, lune de miel et ainsi de suite.

Le montage illustre aussi que même si chacune est isolée, enfermée, ces personnes vivent le même genre d'histoires, les mêmes mécanismes.

La violence conjugale touche majoritairement des femmes dans leur intimité mais également des hommes. C'est une sujet à la fois privé et politique."

Lauryn Adam, @lauryndanse,

 

sur Bored de Billie Eilish

"Stop...don’t touch me! "

" Tout d' abord ma choré a été créée en quelques jours.

J' ai choisi la musique "Bored" de Billie Eilish, car je trouvais qu'elle correspondait super bien avec le thème "les violences conjugales"; par rapport à ses paroles mais aussi, pour la musique même car on entend comme des coups.

Le thème et la musique m' inspiraient beaucoup pour créer cette chorégraphie et les pas sont venus petit à petit. Certains des pas que j' ai ajoutés à ma chorégraphie me font beaucoup penser à la violence (comme des coups reçus, essayer de se protéger avec ses bras, tomber,...).

La violence conjugale est vraiment un thème qui me tient à cœur car toutes ces personnes qui subissent ce mal ne le méritent pas, nous devons les aider! Alors j' espère pouvoir vous faire passer ce message dans ma chorégraphie ! "

Inès Massuy, @ines_massuyy

Sur Corps d'Yseult 

" J’ai choisi une musique qui me plaisait et qui parlait plus du corps car le thème me faisait plus pensé au corps de l’homme ou de la femme. C’est pourquoi j’ai choisi la musique « Corps » d’Yseult. Ça a été un peu compliqué au début de créer car je n’ai pas d’histoire à raconter, heureusement. Au fur et à mesure, l’inspiration de la musique me lançait à créer. C’est compliqué de créer sur un thème aussi fort mais j’ai adoré. "

Laurianne Faure de la Cie Arcane, 

@ciearcane

sur The Rocket III de Martin Tingvall

" Séduction, fascination, illusion, incertitude, déstabilisation, perte de confiance, paralysie, soumission, emprise, résistance, peur, doutes, crainte, domination, solitude, insultes, stress, tensions, fragilité, vulnérabilité, dépendance, angoisse, honte, culpabilité, confusion mentale, dépression, traumatisme, douleur, victime, torture, violences... sont les mots qui traversent chacune de nos danses. 

À trois stades différents de la vie d’une femme, chacun de ces mots trouvent une résonance dans l’histoire intime de chacune d’elles. "

Tableau 1, La Jeunesse

" Une femme, jeune, est tiraillée par cette dualité : d'un côté l'attirance, la douceur, la tendresse de l'amour rêvé ; de l'autre le rejet, le dégoût, la répulsion de la violence subie."

Maria Ortiz Gabella de la Cie Arcane, 

@ciearcane

sur Olga de Thomas Brinkmann

Tableau 2, L'âge adulte

" La vie est une torture permanente, le corps et l’esprit sont marqués au fer rouge par les traumatismes infligée. Histoire parmi tant d’autres, d’une longue agonie… "

Scarlet de la Cie Arcane, 

@ciearcane

sur Nocturne n• 15 en Fa mineur Op.55 n• 1 Andante de Chopin

Tableau 3, La vieillesse

" Il faut trouver la force de se reconstruire: Les souvenirs sont lourds et les blessures sont là, la peur est encore là. Perdue, il faut trouver la force d’aller de l’avant pour se reconstruire et passer à autre chose. "

Cécile Loyer, @theparisian3

sur Le Malamour de Barbara Pravi

Le groupe de danseuses contemporaines composé de Solene Drake, Mélanie Dagnet et Sophie Stellato

The man I love

Sur The Man I Love de Billie Holiday.

Leila, @leiiladance

Sur Bang de Léa Tchéna.

 Chloé Ung, @chloe_011_

Sur une reprise d’Adèle Perrier @eleda.music  de You Say de Lauren Daigle.

Mathilde Goisnard, @macreart_

Sur Notes pour plus tard (réécriture) x le malamour de Barbara Pravi.

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